Le front penché sur la terre
J’allais seul et soucieux,
Quand résonna la voix claire
D’un petit oiseau joyeux.
Il disait : « Reprends courage,
L’espérance est un trésor
Même le plus noir nuage
A toujours sa frange d’or. » (bis)
J’allais seul et soucieux,
Quand résonna la voix claire
D’un petit oiseau joyeux.
Il disait : « Reprends courage,
L’espérance est un trésor
Même le plus noir nuage
A toujours sa frange d’or. » (bis)
Lorsque le soir se fait sombre
J’entends le petit oiseau
Gazouiller là-haut, dans l’ombre,
Sur la branche au bord de l’eau.
Il me dit : « Reprends courage,
L’espérance est un trésor,
Même le plus noir nuage
A toujours sa frange d’or. » (bis)
Mais il partit vers le Père
Et jamais ne le revis.
Je me penchai sur la terre
Et la contemplai, ravi.
Car il n’est que l’espérance
Pour animer notre cœur
Qui de nos plus noires souffrances
Sait toujours être vainqueur. (bis)
J’entends le petit oiseau
Gazouiller là-haut, dans l’ombre,
Sur la branche au bord de l’eau.
Il me dit : « Reprends courage,
L’espérance est un trésor,
Même le plus noir nuage
A toujours sa frange d’or. » (bis)
Mais il partit vers le Père
Et jamais ne le revis.
Je me penchai sur la terre
Et la contemplai, ravi.
Car il n’est que l’espérance
Pour animer notre cœur
Qui de nos plus noires souffrances
Sait toujours être vainqueur. (bis)